Oran City2

mardi 4 décembre 2012

La fondation d'Oran

Au xe siècle, l'ancien Portus Divini des Romains, et la plupart des criques de cette côte n'étaient sous aucune juridiction, ni aucun contrôle officiel. Les côtes du Maghreb étaient utilisés périodiquement par les marins de Pechina alors sous domination d'Al Andalous pour commercer avec le royaume Rostemide, sa proche capitale Tahert et la ville de Tlemcen. Peu à peu ces implantations devinrent permanentes. 
(Oran en 1835)

La plage de Madagh


A une trentaine de minutes de la ville d’Oran, Madagh est une plage réellement paradisiaque. Située à la limite du territoire oranais et marquant le début du Témouchentois. 

Elle bénéficie d’un cadre idyllique entouré d'une forêt sauvage avec petit ruisseau séparant les deux plages. 

Au loin, se découpant sur l’horizon, et comme flottant sur l’eau, les îles Habibas dessinent leurs contours déchiquetés.

La légende des deux lionceaux aux origines de la ville d’Oran .


« Oran », « Wahrân », les origines du nom de la ville sont diverses et incertaines. Très peu de témoignages anciens existent sur sa signification.
D’après les linguistes, la langue d’origine du mot Wahrân serait le libyque, l’ancêtre des langues berbères actuelles.Son origine remonterait à la préhistoire (période néolithique).
Étymologiquement, il semblerait que le nom de « Wahrân » (Oran en arabe) vient du mot arabe « Wihr » qui veut dire Lion. Doublé, ce mot donne Wihrân ou communément appelée Wahrân وهران (deux lions). Ce que l’on sait de source sûr c’est que le nom de Wahran est cité pour la première fois par Ibn Haouqal et El-Bekri, le premier vers 971 et le second en 1068. Vers l’an 900, il subsistait encore des lions dans la région, et les deux derniers chassés se trouvaient sur une montagne près d’Oran qui porte actuellement le nom de « Montagne des Lions ».

mercredi 14 novembre 2012

La Gare Karguentah d'Oran


De style néo-mauresque, la gare a été dessiné par l'architecte Albert Ballu et construit par l'entreprise des frères Perret, lors de la colonisation française. Son architecture reprend les symboles des trois religions du livre

Ainsi son aspect extérieur est celui d'une mosquée, où l'horloge a la forme d'un minaret ; les grilles des portes, fenêtres et plafond de la qoubba (dôme) portent l'étoile de David ; alors que les peintures intérieures des plafonds portent des croix chrétiennes.


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